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15 octobre 2014 3 15 /10 /octobre /2014 13:57

Après cette superbe semaine bretonne riche en sensations et en oméga 3, nous nous sommes séparés, Charlie pour quelques concours (dont je suis sûr que nous aurons le trépidant récit sous peu) et moi pour regagner mes pénates, objectif brochet recherche d’emploi.

« Etant donné la conjoncture actuelle sur le marché du travail », j’ai quand même pas mal de temps pour vadrouiller à droite à gauche. Premier weekend, direction lac d’Annecy ! Le Bourget est plus près, mais ce weekend les championnats du monde y eut lieu… Temps magnifique, pas trop de monde (surtout le dimanche), quelques brochetons, what else ? Pas de gros brochet annécien (deux maillés), mais est-ce bien nécessaire ? Je découvre ici une nouvelle pêche, qui change radicalement de mes habitudes : gros shads (à palette ou pas), fortes plombées, profondeurs importantes et recherche du poisson assez particulière.

Retour en terres connues

Une courte sortie à Paladru et ses eaux hautes, qui nous empêchent d’accéder aux peu de postes valables du bord (capot, malgré l’effort d’un sifflet pour taper le gros jerkbait), et c’est sur l’Isère, encore ouverte, que nous tentons de faire la grosse truite de l’année. Résultats peu concluants, malgré une décroche sur une truitelle (pour le coin…) de 40 cm, sur un mini buster colori Némo (WTF ?). C’est donc un deuxième capot intégral, d’autant plus honteux que nous avons aujourd’hui – chose rare – une présence féminine avec nous ! Peu importe, la journée est belle, l’eau est tiède, ça fait du bien d’y être et c’est bien là le principal.

Retour en terres connues

Pour laver l’affront, salir les floats et faire prendre ses premières perches à Claire, nous nous organisons une petite sortie au Grand Large, profitant de nos plannings de chômeurs pour tenter de venir en semaine. Arrivés sur les lieux, quelques bateaux et float-tubes sont déjà sur l’eau, la fréquentation ici est impressionnante! Quelques échos de prises, quelques petits brochets et 2-3 jolies perches ont été faites le matin, ça s’annonce pas trop mal… Passées les premières minutes de « rôdage » en float (première pour Claire), nous traversons sous un ciel gris le plan d’eau, en direction des palplanches qui séparent le lac du Rhône. Je prends une première perche au ls, côté Rhône, en laissant bien planer entre les obstacles…

Retour en terres connues

Claire me rejoint vite, et ça y est, elle a fait son premier poisson !!

Le reste de l’aprèm se déroulera de la même manière, nous suivrons les palplanches en nous arrêtant, suivant l’adage, « partout où ce n’est pas comme ailleurs »… C’est d’ailleurs sur un très beau microspot que je vois Claire envoyer un grand ferrage, et sortir une belle zébrée de 30+, la plus belle – enfin, jusqu’à ce moment-là!

Retour en terres connues

Ne pouvant tout de même pas laisser mon honneur ainsi bafoué, je secoue le jigging-rap quelques mètres plus loin, sur ce qui m’a semblé être une chasse de baleine (au moins). Ça ne traîne pas, je suis pendu à un poisson … qui me prend du fil ! Mais qu’est-ce ?? Eh bien, c’est une très jolie perche de 42-43, ça faisait longtemps que je n’en avais pas prise d’aussi belle.

Retour en terres connues

Ce haut-fait marque la fin de notre courte après-midi de pêche, et nous barbotons pour retourner à la mise à l’eau… Bilan de la journée, une quinzaine de poissons et de la bonne humeur!

A noter également, quelques sorties sur le Rhône, où j'en renoué contact avec les sandres de chez nous...

Retour en terres connues

Vivement que l'hiver - et ses gros sandres - arrive...

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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 16:06

Après 6 mois de stage et les épreuves terminales de notre master, quoi de mieux pour se préparer à l’entrée dans le monde professionnel qu’une petite semaine de vacances ? Direction Bretagne !! Le temps est radieux, nous avons avec nous quelques cannes de puissance entre 10 et 40-60 grammes, ce qui devrait être assez pour contrer les combattants des mers (enfin nous l’espérons du moins).

Lundi 22

Arrivés dans la soirée de dimanche, nous ne perdons pas de temps puisque nous nous rendons dès le lundi matin au bord de l’eau. Arrivés sur un petit parking en bordure de mer, nous sortons fébrilement les cannes de la voiture et marchons d’un pas décidé à travers les dunes pour trouver un premier spot convenable. Nous trouvons enfin un coin tranquille (enfin presque, il y a déjà un pêcheur sur la zone), avec du ressac, quelques roches et un peu de profondeur.

Bars bretons et autres délices...

Une première tape manquée, puis d’un coup ça y est, c’est pendu, mais qu’est-ce donc ? Une orphie en pleine forme, qui se tortille dans tous les sens ! Décrochage laborieux (eut égard à l’hyperactivité du poisson) mais rapide, une ou deux photos pour immortaliser notre premier poisson breton, et hop à la baille! Ce qui ne sera pas le cas de celle prise par le proche voisin, qui finira fracassée contre un rocher et jetée dans un panier. Autre pays, autres mœurs…

Bars bretons et autres délices...

Quelques dizaines de minutes plus tard, rebelote, le voisin et moi-même referons une aiguillette chacun, avec les mêmes destins ! On dirait que les poissons passent en bande à toute vitesse, les touches sont très rapprochées et espacées de longues périodes à creux.

On continue d’avancer le long de la falaise, et une 40aine de minutes plus tard, me voilà gratifié d’une belle touche ! Ça se bat un poil mieux qu’une aiguillette, mais ça vient malgré tout assez facilement… Et c’est une petite bonite qui rend les armes ! Un bien joli poisson, qu’on dirait sans écaille. Photo, remise à l’eau, et la pêche continue !

Bars bretons et autres délices...

Hélas, ce sera tout pour cette (trop) courte matinée, nous retournons at home pour commencer à déménager, non sans passer par le magasin de pêche le plus proche pour faire l’acquisition de quelques jigs, dont on nous avait vanté les mérites…

Retour au bord de l’eau pour un bref coup du soir, le soleil est déjà en train de se coucher quand nous arrivons au bord du rivage. Charlie, qui a une revanche à prendre sur les poissons bretons, s’essaye au stickbait. Avant même que je n’arrive à sa hauteur, il est déjà pendu sur une incroyable attaque en surface ! Et c’est encore une nouvelle espèce qui s’ajoute à notre tableau, avec notre premier lieu jaune !

Bars bretons et autres délices...

Ce poisson a des yeux énormes, et bien que sa physionomie nous fasse penser de prime abord à un poisson de fond, il semblerait qu’ils soient actifs (et même très actifs) en surface… Charlie enchaîne les poissons, qui semblent hypnotisés par son stickbait ! Certains sautent même entièrement au-dessus de l’eau, agacés par les billes du leurre !! Ce sera le soleil, ou plutôt sa lente et superbe disparition derrière l’horizon, qui mettra fin à ce coup du soir extraordinaire…

Bars bretons et autres délices...

Bilan de la journée (bien amputée par nos activités extra-halieutiques), 7 lieus (comme les bottes), 2 orphies et 1 minibonite. Pas si mal pour nous qui ne connaissions pas du tout la pêche en mer, ces poissons comme ces conditions ! Nous sommes donc remontés à bloc pour le lendemain…

Mardi 23

Ce matin, l’ami Jean, un vieux loup de mer, nous emmène sur son bateau. Au programme, pêche aux leurres, et découverte de la pêche locale avec le relevé de ses filets et de ses casiers. Dès la sortie du port, alors que nous nous dirigeons tranquillement vers un de ses spots réputé pour ses populations de lieus, je touche de petites bonites en laissant traîner un poisson nageur assez loin derrière le bateau.

Bars bretons et autres délices...

Nous nous arrêtons brièvement sur une première zone propice à la rencontre de sieur Labrax, l’occasion de tester nos jigs flambant neuf ! Au premier lancer, « quelque chose » se pend à mon jig, pas très gros mais ça fait plaisir quand même ! Et c’est le tout premier bar breton qui sort rapidement de l’eau, pour y retourner presqu’aussi rapidement ;)

Bars bretons et autres délices...

Après quelques essais supplémentaires infructueux, nous quittons la zone pour nous diriger vers le trou à lieus, et nous profiterons du trajet pour ajouter quelques poissons au tableau, à la traîne. Une fois arrivé sur les lieux, nous sommes dans les lieus. Les poissons s’enchaînent les uns après les autres, c’est vraiment une pêche caviar ! Il est presqu’impossible de faire un lancer sans prendre au moins une touche (il faut dire aussi qu’un jig de 30-40grammes, ça vole loin), les doublés / triplés sont systématiques et nous ne comptons même pas les poissons tellement ça mord.

Bars bretons et autres délices...

Au milieu de cette masse de lieus, nous touchons parfois d’autres espèces, dont certaines nouvelles pour nous : tacauds, bonites et Charlie touche même une belle vieille, ce qui donnera bien entendu lieu à toutes sortes de jeu de mots, plus graveleux les uns que les autres… C’est fou comme l’air frais de la Bretagne peut être source d’inspiration !

Bars bretons et autres délices...
Bars bretons et autres délices...

Hélas, la marée n’attend pas, et comme notre capitaine a du boulot cet après-midi, nous nous devons de rentrer au port. Sur le retour, nous relevons son filet et ses casiers, qui nous fourniront de délicieuses crevettes élevées sous la mer pour l’apéritif de midi, c’est le bouquet ! Charlie ajoutera in extremis une orphie (sa première) au tableau de la journée, en rentrant au port…

Bars bretons et autres délices...

Mercredi 24, le MalaBar

Afin de profiter de la marée montante, nous décidons aujourd’hui de travailler le matin pour pêcher l’après-midi. Malgré les conditions plutôt favorables, la pêche s’est avérée assez difficile : très peu de touches, je fais une orphie qui s’était perdue au milieu de rien, et puis c’est tout. Quelque peu dépités par cette apparente désertification soudaine du rivage, nous rentrons en lançant à droite à gauche, sans grand espoir. Une bonne nouvelle vient cependant ensoleiller notre après-midi : nous avons notre master ! Charlie décide donc de fêter ça en allant au bar, quand il y en a marre... C’est donc sur le dernier lancer, depuis une falaise et à l’étale haute, qu’il fait enfin la rencontre avec Dicentrarchus Labrax, et quel poisson ! Une défense vigoureuse, que Charlie est bien forcé de contenir pour éviter les roches affleurantes et les vagues bien formées qui viennent s’écraser au pied de notre promontoire…

Bars bretons et autres délices...

Verdict : 52cm, premier bar maillé du séjour, et bien maillé en plus, quel bonheur ! L’après-midi est sauvée, nous rentrons à la maison surmotivés pour le lendemain…

Jeudi 25

Ce matin, Jean nous remmène sur son bateau. Malgré le départ très matinal, une brume matinale épaisse nous empêche de prendre la mer et nous contraint à attendre quelques dizaines de minutes. Enfin la mer se découvre, et nous partons sous un soleil à faire pâlir la Côte d’Azur !

Bars bretons et autres délices...

Convaincu semble-t-il par la sortie précédente, nous avons préparé à Jean une canne à leurre, qu’il ne tardera pas à faire plier ! A l’instar de mardi, les poissons répondent présent… Cette fois, Jean décide de nous amener sur un autre spot à bar, qui nous offrira quelques lieus, ainsi que mon premier bar « correct ».

Bars bretons et autres délices...

Cependant, les bars ne semblent pas non plus suractifs, aussi nous décidons de nous déplacer lentement, tantôt traînant, tantôt péchouillant rapidement au jig. Cette manière de faire nous amène une prise assez inattendue : un calamar arrive au bateau, crachant son désespoir par grandes giclées (heureusement sans encre). Je suis surpris par la résistance que peut opposer au bout de la canne un animal aussi mou.

Bars bretons et autres délices...

Une tentative sur un autre spot à bars, et Charlie fait venir au bateau de nombreux bars de toutes tailles, qui malheureusement ne semblaient pas décidés à croquer nos leurres. Aussi, nous filons sur le trou à lieus, qui tiendra une fois de plus toutes ses promesses… Relevé du filet et des casiers, et nous voilà sur le chemin du retour.

Bars bretons et autres délices...

Sur la plage, le deuxième Couchoud nous attend, les frères terribles sont réunis, ça va chauffer pour tout ce qui a des écailles !! Nous travaillerons l’après-midi, et nous sommes ensuite allés faire le coup du soir.

La marée étant descendante, il était un peu moins dangereux que la veille de s’aventurer sur les récifs – en prenant garde toutefois aux vagues parfois traîtres. C’est dans une large anse que nous trouverons les lieus depuis le bord, une fois de plus au jig… La marée ayant laissé des flaques assez profondes, nous tentons quelques photos subaquatiques avant de rendre à la mer ce qui lui appartient.

Bars bretons et autres délices...
Bars bretons et autres délices...
Bars bretons et autres délices...
Bars bretons et autres délices...

Tom fait également une belle orphie en maraude, qui trouvera le moyen de se piquer au jig…

Bars bretons et autres délices...

Le soleil se couche sur la mer, offrant un panorama grandiose à cette fin de coup du soir.

Bars bretons et autres délices...

Vendredi 26

Après une matinée à travailler et une courte baignade dans les bretonnes eaux, nous avons tenté les bars au coup du soir à marée montante, en espérant que les pointes balayées par les courants nous soient favorables. Une fois de plus, c’est au stickbait que Charlie fait monter le poisson, en l’occurrence deux orphies, en chasse dans les vagues. Point de bar donc, mais une bonne soirée quand même, qui s’est terminée au restaurant où nous avons pu déguster de délicieuses rillettes de sardines…

Samedi 27

Ce samedi marque la dernière journée de pêche, et la dernière matinée embarquée de notre séjour breton. Arrivée sur la plage aux aurores, un petit bar ouvre le bal en se pendant d’entrée de jeu à mon stickbait depuis la plage, alors que j’attendais le retour de l’annexe qui devait me ramener au bateau : la journée s’annonçait bien ! Sortie du port, et déjà un lieu se pique à un poisson nageur traîné lors de la sortie du port. Tom renchérit avec deux beaux poissons, et nous filons en direction d’une zone à bar. Alors que Tom pêche au lancer-ramené, une violente touche fait plier son scion, et quelques minutes d’un combat acharné viennent à bout d’un superbe bar de presque 50 cm !

Bars bretons et autres délices...

La pression monte dans le bateau, les bars sont dans la place… Quelques minutes après seulement, c’est au tour de Charlie de plier le carbone et de faire chanter le frein, il prend un superbe bar de plus de 50cm cette fois sur un combiné leurre souple / tête plombée banane (qu’il a jusqu’aux oreilles par ailleurs) !

Bars bretons et autres délices...

Malgré nos efforts, nous ne répèterons pas l’exploit, bien que je prenne par la suite quelques poissons au stickbait (Bonites petit bar)…

Bars bretons et autres délices...

Le trou à lieus donnera cette fois un peu moins de poissons qu’à l’accoutumée, mais Tom fera presque coup sur coup deux vieilles, qui offriront un combat un peu plus tenace que les lieus…

Bars bretons et autres délices...

Nous rentrons donc satisfaits de cette dernière sortie en mer, qui nous aura offert de superbes poissons… Plus qu’une seule envie : y retourner ! Anecdote amusante, nous sommes allés nous baigner en fin d’après-midi, et des chasses éclataient au milieu des baigneurs, à moins de 2-3 mètres…

Conclusion de cette trop courte semaine de vacances : le bar, c’est chouette ! La pêche en mer semble finalement assez accessible pour qui fait l’effort de persévérer, nous ne sommes pas rentrés une seule fois bredouille… Il est clair que le jig tient ici une place très importante dans l’arsenal du pêcheur au leurre, nous sommes cependant arrivés à prendre quelques poissons à d’autres techniques, comme le poisson nageur, le stickbait ou encore le leurre souple.

A bientôt, l’hiver – et ses gros poissons – approche !!

Johan

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29 septembre 2014 1 29 /09 /septembre /2014 09:46

Nous voici à Tours pour quelques jours afin de passer notre dernier examen, et pour se préparer, quoi de mieux que d'aller à la pêche avec les copains ?

L’équipe est composée du sudiste Mathias, du breton Pierre, du nordiste Bastien ainsi que Johan et moi-même, les « Rhônalpiens ». Direction les rives du Cher sur des postes découverts par nos guides et sur des postes que nous avions prospectés il y a deux ans déjà…

L’objectif principal est l’aspe, superbe poisson de la famille des cyprinidés dont les populations sont en pleines expansion sur notre territoire. Cette espèce à la particularité de devenir très carnassière à l’âge adulte, elle chasse à proximité des zones courantes avec apparemment une prédilection pour les bancs de sables, mais les aspes sont surtout caractérisés pour leurs facultés à chasser violemment en surfaces le fretin malchanceux ! Ils montent donc bien volontiers sur des sticks, et c’est que du bonheur !!

Passage en Touraine, les aspes et les copains
Passage en Touraine, les aspes et les copains

Nous pêchons en groupe et les secteurs sont quadrillés, aucunes chances aux poissons !! Sur un lancer lointain, j’ouvre le bal avec un premier aspe qui après avoir jailli et emporté mon stick dans un beau remous me livre un combat musclé avant de rendre les armes:

Passage en Touraine, les aspes et les copains

J’enchaine par deux jolies perches suivi de près par Johan, quel plaisirs de prendre des poissons en surface !!

 

Passage en Touraine, les aspes et les copains
Passage en Touraine, les aspes et les copains

Nous terminons tous ensemble sur un spot aussi connu qu’infréquentable, peu importe nous envahissons les lieux et touchons tous les poissons attendus :

Jolies perches pour Johan...

Jolies perches pour Johan...

Un silure vainqueur...

Un silure vainqueur...

Et un sandre pour couronner le tout!

Et un sandre pour couronner le tout!

Le lendemain, après ces terribles oraux, enfin libéré de cette dernière épreuve, nous filons directement à la pêche avec Mathias et Pierrot, une bonne bière, un petit casse-croute, et c’est parti !! Après avoir peiné à faire réagir des poissons, c’est Mathias qui fait monter un premier superbe aspe, j’ai la chance d’observer cette action parfaite en direct, le ferrage est dans le timing mais malheureusement ce poisson se décrochera au cours du rude combat, il a gagné !

 

A mon tour de ferrer un fish, c’est beau, c’est blanc, mais c’est un chevesne… Cyprinidé quand même !

Passage en Touraine, les aspes et les copains

On change de secteur, et c’est de nouveau Mathias qui provoque une nouvelle explosion en surface, de nouveau raté… J’espère que depuis, tu les as corrigés !! ;)

On finit sur le même secteur que la veille, après une perche en surface, je refais en sandre à la gratte :

Passage en Touraine, les aspes et les copains

 

Je ne vous avais pas parlé de Pierre, notre Breton de l’équipe, moucheur avant tout, qui à tout fait pour faire son aspe sur ses magnifiques poppers maison, et bien qu'il soit talentueux, il est impossible de rivaliser avec nos lancers rapides et lointains... Il choisira finalement le dernier spot pour troquer sa « moucheuse » contre un lancer, et les poissons répondent immédiatement, d’abord des perches: 

Passage en Touraine, les aspes et les copains
Passage en Touraine, les aspes et les copains
Passage en Touraine, les aspes et les copains

Puis il ira chercher in-extremis sur une superbe action de pêche, un magnifique aspe :

Passage en Touraine, les aspes et les copains

Bravo Pierrot ! (Pour celui-là, mais aussi pour tous les autres que tu es allé chercher à la mouche les semaines suivantes !!)

 

Ayant perdu ma carte SD, il me manque quelques photos sympathiques, j’en rage encore, mais grâce à vous et vos talents de photographes naturalistes, j’ai de superbes images qui me permettent d’illustrer ce rapide passage en Touraine ou vous nous avez accueilli royalement, mille-mercis les amis !!

A charge de revanche, vous êtes invités pour venir traquer les sandres de fleuve et de barrage !!

@+

Charlie

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  • : Le blog de fishing-addiction
  • : Complètement addict' de la pêche et plus particulièrement de la pêche aux leurres, que nous pratiquons de partout où cela est possible, du bord, en float-tube ou en bateau, en rivière, en fleuve ou en lac, tout poissons susceptibles de faire vibrer le blank et de déclencher une montée d'adrénaline, que seul, nous, les pêcheurs avons la chance de connaitre! Notre berceau: La région Rhône-Alpes, l'Auvergne de l'Est, sur l'eau du Rhône, de la Loire et de ses barrages. Bonne lecture! Charlie Couchoud, JL
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